Salut!
Je suis Cindy Emily Sterling, je suis de Los Angeles (Californie). J’ai grandi à Venice Beach et Hollywood, j’y réside actuellement et je viens d’être diplomée.
Comment ta passion pour ce que tu fais est-elle née?
-Quand j’étais petite, je n’ai jamais pensé que je voulais être actrice! J’ai toujours été une farceuse et une personne qui aime sortir, je pensais que j’allais travailler dans un bureau à Century City ou devenir une Pop star légendaire internationalement connu à 16 ans!!
J’ai travaillé dans un bureau à Century City, en tant qu’assistante des documents à classer de l’agent de change. Mais ça m’a rapidement déprimé, attristé et troublé – Alors j’ai abandonné cette voie et suivie mes rêves! C’est tout ce que je veux faire et continuer à faire pendant un LONG moment à venir.
Quel était ton rêve d’enfant?
-Parcourir le monde et performer devant une tonne de personnes!
Qu’aimes-tu le plus dans ton travail?
-Je suis payée pour voyager dans des endroits superbes et parfois être liée avec des gens super cool! En plus, on s’occupe de mes cheveux et de mon maquillage, c’est mon moment préféré, c’est thérapeutique. Mais quand la journée est terminée, j’aime aussi quand j’enlève enfin tout le maquillage et que j’ai un visage propre!
Quel a été ton meilleur moment, pour l’instant, dans ta carrière?
-Wow, je dirais… Travailler dans “NIGHT STALKER” avec Bellamy Young de Scandal,qui joue Millie, la femme du Président.
On se faisait maquiller côte à côte et je me suis dit: “garde ton sang froid”. Et j’ai dû lui dire: ” Vous êtes extrêmement talentueuse. Il y a énormément de séries télé que j’aime, je préfère les films, mais Gossip Girl et Scandal sont mes préférées depuis toujours”.
Quel est l’accessoire que tu ne quitte jamais?
-Sans une bague ou trois je me sens nue! Et aussi, une paire de chaussures vraiment cool.
As-tu une citation que tu aimes spécialement?
-“Plus dur tu travailles, plus de chance tu obtiens” Larry Bird
“Ne te détourne pas, ne l’affaiblit pas, n’ajuste pas ton âme selon la mode. Suis tes passions les plus intenses, sans pitié” -Franz Kafka